Le langage animalier du recruteur
Il faut appeler un « chat un chat », nous avons, nous recruteurs, un « mal de chien » (désolé d’être familière) à trouver « l’oiseau rare ». L’une des raisons en est peut-être que nos clients nous décrivent souvent « l’oiseau rare » comme le « mouton à cinq pattes ». Il y a donc de quoi s’y perdre. J’ai bien peur que la situation ne persiste durablement et que « le mouton à cinq pattes » en ait enfin quatre le jour où les « poules auront des dents »… Qu’à cela ne tienne je me sens comme un poisson dans l’eau face à ce challenge quotidien.
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